Les manuscrits
Histoire 36 - Troisième chapitre
Au bout du tunnel et des chemins de pierres, Alpheca attend les visiteurs.
Dans une vaste grotte où les conduit Alpheca, le professeur Lepicarbris et ses camarades découvrent d'autres mystérieuses écritures.
En ces lieux secrets, le fond de la caverne est aussi tapissé de mots indéchiffrables.
Le professeur Lepicarbris reconnait quelques signes de l'écriture du Linéaire B.
Les symboles décryptés par de célèbres archéologues ont révélé des détails sur d'anciennes civilisations.
Mais le plus ancien des syllabaires, le Linéaire A, reste un mystère. Ce système d'écriture utilise des centaines de signes parfois communs avec le Linéaire B. Pourtant les valeurs associées conduisent à des mots inintelligibles. Les inscriptions du Linéaire A n'ont donc pas encore été décryptées.
Le gardien des lieux s'appelle Nusakan. Il présente à son tour une carte de la Terre.
Une carte du II siècle, la carte de Ptolémée. Elle indique à celui qui la déchiffre l'emplacement des anciennes cités du monde.
Le professeur Lepicarbris s'arrête devant un livre posé sur un chevalet.
En 25 cm de hauteur et 240 pages, ce livre raconte différents thèmes : la cosmologie, l'astronomie, la biologie...
Les mots semblent composés d'une quarantaine de caractères, tracés de gauche à droite, à la main, sans aucune rature.
Certaines pages se déplient en une feuille plus large que le livre. Ces pages en peau d'animal datent du XV siècle.
Le professeur parcourt les feuilles jaunies du manuscrit, pleine d'illustrations et d'écritures mystérieuses.
Le manuscrit de Voynich.
Il était une fois, les manuscrits
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