Toliman

 

 

3081 - La Terre n'est plus la seule planète habitable.
Certaines planètes ou lunes abritent des peuples dissemblables.
Des humains bioniques, des humanoïdes, des androïdes,
des genres variés de la robotique.

01096

 

Sur la Lune, le robot Orionis emmène Saiph, Matar, Lune et Sun visiter le Musée Toliman.

Img 240

Le Musée se trouve vers le Mont Appenins. Orionis sait se repérer sur la Lune où il est si facile de se perdre.
Le terrain est valonné de creux de deux à cinq mètres.

Img 0506

Heureusement le Soleil blanc se lève à l'est et se couche à l'ouest, toujours de la même façon, mais si lentement qu'une journée et une nuit de même durée, correspondent à un mois sur Terre. Quinze journées de Soleil et quinze nuits sont égal à un jour lunaire.

Voici enfin le Musée Toliman

Img 0243

L'humanoïde Menkent accueille les visiteurs et leur présente les oeuvres de deux grands artistes qui furent astronautes.

Peintres 1

Puis un écran s'allume, l'histoire commence dès 1959, où de nombreuses sondes et vaisseaux inhabités survolent la Lune et envoient des images à la Terre.

1959 - 1966

Mus1

Des sondes atterrissent sur la Lune, collectent des échantillons, les ramènent sur Terre, transportent aussi des automates qui restent sur le sol lunaire.

1966-1972

Mus2

 

Deux nations sont en compétitions pour atteindre la Lune.

Entre 1969 et 1972, vingt et un hommes décollent à bord de la fusée Saturn V pour la Lune. Seule une mission échoue. Durant les autres missions de nombreuses expériences scientifiques sont réalisées, des kilos de pierres lunaires sont collectés et ramenés sur Terre.

Lanceur 1


Douze hommes ont marché sur la Lune , six autres sont restés en orbite.

Apol

Apollo 17

Apollo17 2

 

De nouvelles sondes plus perfectionnées cartographient la Lune en totalité, analysent sa composition.

1973 -2008

Mus3

Les sondes découvrent la présence d'eau sur le sol lunaire, repèrent les sites des anciens d'apollos et ceux favorables à de futures missions, étudient les champs de gravite et l'atmosphère de la Lune.

2009 - 2012

Menkent
 

Deux nouvelles missions lunaires robotiques ont échouées

L'atterrisseur Beresheet est doté d'un réflecteur laser qui permet de mesurer la distance Terre-Lune. Le miroir peut réfléchir un faisceau laser envoyé depuis la Terre par un grand télescope. La vitesse de la lumière étant de 300 000 km/secondes, il suffit de mesurer le temps que met le faisceau à revenir à son point de départ.
Crash de l'atterrisseur Beresheet sur la Lune le 11 avril 2019

Bret 1

 

Chandrayaan 2
La sonde est constituée d'un orbiteur, d'un atterrisseur Vikram et d'un petit rover Praguan.
Instruments scientifiques pour l'étude de la Lune, face cachée.
Crash de l'atterrisseur sur la Lune le 07 septembre 2019

Chand

 

Près du Musée, un télescope de 120 cm est à la disposition des visiteurs.
Matar observe le ciel lunaire avec un oculaire de 25 mm (grossissement 48 fois)

Obsmus

Les pléiades

Pleid

La nébuleuse d'Orion

Ornel

Un amas globulaire

Amas globulaire

Le croissant de Vénus

Venuscrois jpg 1

Mars

Pict5209mars 1

Jupiter

Jupiter 1

Saturne

Saturne 1

 

Sur la Lune, les étoiles ne scintillent pas.
La Terre ne se lève pas et ne se couche pas comme le fait la Lune en décrivant un arc de cercle d'est en ouest.
Les phases de la Terre se succèdent dans le ciel lunaire. Un observateur sur la Lune voit une Terre dans une direction fixe décrire une petite ellipse dans cette direction, à une hauteur dépendant du lieu d'observation. La hauteur de la Terre sur l'horizon dépend donc de la position de l'observateur sur la Lune. Sans les librations, la Terre serait vue immobile dans le ciel. A cause des librations de la Lune (balancements)  on la voit décrire une petite ellipse ou bien quand elle passe sur l'horizon, on la voit se lever, décrire un petit arc et se coucher.
La Terre est vue 4 fois plus grosse dans le ciel lunaire que la Lune dans le ciel terrien.

 

Il était une fois, le Musée Toliman
(Histoire1)

(Histoire 24 - Il était une fois, le ciel)

 

 

Ajouter un commentaire